Elle m’a dit : «Aime-moi, prends moi dans tes bras, je n’ai plus personne
Ne laisse pas ton odeur imprégner mes draps si tu m’abandonnes
Je suis pas celle que tu crois, aucun cabrón ne m’a touché
A part toi caballero, non personne ne m’a touché»
Je l’ai trouvée assise toute seule comme dans le vide
Elle a l’air tristounette et ça tombe bien j’ai les épaules solides
Un peu de réconfort, je lui parle et j’apprends à quel point elle a souffert
C’est une enfant de la guerre qui cache ses sentiments à des milliers de pieds sous terre
La cocaïna, la cocaïna a pris sa famille
C’est une clandestina, une clandestina à Miami
Elle m’a dit : «Aime-moi, prends moi dans tes bras, je n’ai plus personne
Ne laisse pas ton odeur imprégner mes draps si tu m’abandonnes
Je suis pas celle que tu crois, aucun cabrón ne m’a touché
A part toi caballero, non personne ne m’a touché»
J’aurais pu te dire à quel point elle est sexy, mais pas cette fois, non pas celle-ci
Je l’ai voulue pour moi, j’avoue j’ai faibli, c’était son histoire ou sûrement le whisky
Et j’ai vu ses paroles, quand elle me parlait d’eux
Et j’ai vu ses parents, j’ai vu ses paroles, elle et son frère étaient heureux, tellement heureux
Un jour le feu a pris leur âmes parce que d’autres l’ont décidé
Pour que des gringos se tapent dans la came, on sacrifie des destinées
Elle m’a dit : «Aime-moi, prends moi dans tes bras, je n’ai plus personne
Ne laisse pas ton odeur imprégner mes draps si tu m’abandonnes
Je suis pas celle que tu crois, aucun cabrón ne m’a touché
A part toi caballero, non personne ne m’a touché»
Elle m’a dit «Aime-moi»
Elle m’a dit «Aime-moi»
Elle m’a dit «Aime-moi»
Elle m’a dit «Aime-moi»
«Aime-moi, aime-moi, je n’ai plus personne
Ne laisse pas ton odeur si tu m’abandonnes
Aime-moi, aime-moi, je n’ai plus personne
Ne laisse pas ton odeur si tu m’abandonnes
Si tu m’abandonnes, si tu m’abandonnes»
Elle m’a dit : «Aime-moi, prends moi dans tes bras, je n’ai plus personne
Ne laisse pas ton odeur imprégner mes draps si tu m’abandonnes
Je suis pas celle que tu crois, aucun cabrón ne m’a touché
A part toi caballero, non personne ne m’a touché»